Selon les experts en sécurité présents à l’Infosecurity Europe 2007, l’utilisation d’exécutables cachés et d’une variante high-tech de la technique d’espionnage dite du micropoint faciliterait les attaques pirates et les vols de données.
La première attaque consiste à introduire un fichier exécutable malveillant dans un document Word. L’ouverture du document provoque le plantage du système et l’installation automatique du programme au redémarrage de l’ordinateur.
"C’est une technique ingénieuse car les logiciels antivirus sont incapables de détecter ce type d’attaque", a déclaré Pete Simpson, directeur Threatlab Active de Clearswift. "Une bonne partie du code hérité de Word se prête parfaitement à ce type d’attaque. C’est le vecteur d’attaque idéal pour les agences de renseignement ennemies et les criminels professionnels."
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